L'hyposignal en T2 ou en T1 sur l'échographie a été défini par l'association d'un hypermétabolisme en T2 du tissu cérébral et d'un hypométabolisme en T1 du tissu cérébral. C'est un type de séquelle postradique qui touche 1 patient sur 100 000 dans les formes localisées (moins de 10 % des cas), 1 patient sur 50 000 dans les formes diffuses (15 % des cas) et 1 patient sur 25 000 dans les formes diffuses. Le traitement de référence est la photothérapie dynamique qui permet d'obtenir des résultats très satisfaisants chez 95 % des patients présentant une forme localisée et 98 % des patients présentant une forme diffuse. Il n'existe pas de traitement curatif de la maladie de Leber.
Un myélome est une tumeur maligne de la moelle osseuse. L'incidence des myélomes est estimée à environ 50 000 cas par an en France. La maladie de Leber est la forme la plus répandue de myélome des cellules de la moelle osseuse. Le diagnostic est fait devant l'apparition d'une anomalie des examens biologiques de base (< 5 %), à savoir une hypocalcémie (15 % des cas), une hyperphosphorémie (15 % des cas), une hyperuricémie (15 % des cas) et une élévation du taux sérique de la phosphatase alcaline (15 % des cas).
Le pronostic est défavorable car les taux de survie à cinq ans sont de 80 %. La maladie de Leber est un myélome non récessif et les mutations génétiques impliquées sont héréditaires.
La maladie de Leber est une tumeur monoclonale, c'est-à-dire qu'elle résulte d'une production d'une protéine clonale spécifique. La production de la protéine clonale spécifique est associée à une surproduction d'érythroblastine qui conduit à une hyperproduction des globules blancs qui participent à l'immunosurveillance de l'organisme. Les globules blancs sont en effet capables d'identifier et de détruire les cellules tumorales qui sont des cellules malignes et porteuses de tumeurs. La maladie de Leber, en raison de sa génétique, se traduit par une surproduction d'érythroblastine qui se traduit par une hyperproduction des globules blancs, responsables de l'immunosurveillance de l'organisme. L'immunosurveillance de l'organisme permet ainsi de maintenir une réponse optimale et adaptative à des agents infectieux ou des agents agresseurs extérieurs à l'organisme. Les cellules tumorales sont alors détruites et la réponse immunitaire est renforcée. La maladie de Leber se caractérise par un dysfonctionnement de l'immunosurveillance de l'organisme qui permet une réponse immunitaire déficiente à l'immunosurveillance de l'organisme par une réponse immunitaire inadaptée et non efficace. La maladie de Leber est donc une maladie immunitaire chronique, dont le pronostic est donc défavorable et qui se caractérise par une réponse immunitaire inadaptée à l'immunosurveillance de l'organisme. Cette réponse immunitaire inadaptée est responsable de la survenue d'une réponse immunitaire excessive et non adaptée.
- Survenue d'une complication neurologique : convulsion, coma ou perte de connaissance pouvant conduire à un décès ; - Critères d'évolution de la maladie : atteinte des muscles et des nerfs, atteintes ostéo-articulaires.
- Signes de gravité : absence de signe de gravité : anomalies de la scintigraphie osseuse : - Survenue d'un signe de gravité : hypercalciurie, hyperphosphorémie, hyperuricémie. - Survenue de signes de gravité : hypercalciurie et/ou hyperphosphorémie et/ou hyperuricémie.
- Diagnostic de certitude : - Signes de gravité : absence de signe de gravité : hypercalciurie, hyperphosphorémie, hyperuricémie. - Diagnostic probabiliste : - Signes évocateurs : anomalie de la scintigraphie osseuse, anomalie des examens biologiques de base, hypocalcémie, hyperuricémie.
- Examen biologique : - Examen clinique : - Examen neurologique : absence de signe de gravité. - Examen d'imagerie : - Imagerie de base : absence d'anomalie.
- Risque de toxicité : - Anomalie de la scintigraphie osseuse : - Anomalie des examens biologiques de base : hypercalciurie, hyperphosphorémie, hyperuricémie. - Anomalie des examens biologiques de base : hypercalciurie, hyperphosphorémie, hyperuricémie. - Anomalie des examens biologiques de base : hypocalcémie, hyperuricémie. - Anomalie des examens biologiques de base : hypocalciurie, hyperphosphorémie, hyperuricémie.
- Surveillance de la maladie : - Surveillance de l'évolution : absence d'anomalie de la scintigraphie osseuse.
Les infections à Herpes simplex virus (HSV) sont très fréquentes chez l’enfant comme chez l’adulte.
Des épidémies de HSV ont lieu chaque année chez les jeunes enfants. Elles sont très fréquemment associées à des lésions oculaires : kératites, ophtalmoplégies et surdité ou perte auditive de perception.
Lorsque le virus de l’herpès est localisé, il ne présente aucun risque pour la vue. Mais en cas d’atteinte de l’œil ou de surinfection, la survenue d’une kératite peut être à l’origine d’une inflammation grave qui peut s’accompagner de complications.
Les virus de l’herpès (HSV) se transmettent par contact direct ou indirect lors de contacts oculaires, et plus rarement par la salive (salive infectée).
Le virus de l'herpès est l’herpès simplex virus (HSV), le deuxième virus le plus fréquemment responsable de verrues génitales après le papillomavirus.
Les HSV1 et HSV2 sont présents sur la peau et les muqueuses et constituent les virus les plus courants. Il existe d’autres virus : HSV3, HSV4 et HSV5. Les virus de l’herpès génitaux (HSVg) sont moins fréquents : ils sont présents dans les voies génitales externes et dans les lésions de l’herpès labial.
Le virus de l’herpès génital (HSVg) est le virus le plus fréquent chez la femme.
Il est présent dans la peau et les muqueuses, et est responsable des lésions de l’herpès génital. Les lésions sont typiques : elles se présentent sous forme de lésions érythémateuses sur le vagin ou les lèvres, et de vésicules sur les organes génitaux.
La lésion peut être douloureuse.
Le virus de la varicelle (VZV) est le virus le plus fréquemment responsable de varicelle-zona chez l’adulte et chez l’enfant.
Le VZV est un virus qui appartient à la famille des entérovirus. Il est responsable de la varicelle chez l’adulte et chez l’enfant. La varicelle est caractérisée par des lésions cutanées, vésiculeuses ou ulcérées et des lésions muqueuses : les lésions de varicelle-zona sont des lésions cutanées ou muqueuses.
La varicelle se transmet essentiellement par contact direct ou indirect lors de contacts oculaires.
Le VZV est très sensible à certains médicaments et peut être responsable d’une varicelle sévère avec un risque de lésions de la peau, de l’œil, et du cerveau. La varicelle peut être à l’origine d’une infection grave et d’atteintes neurologiques sévères. Des complications neurologiques sévères peuvent être présentes et conduire à une forme chronique de la maladie : syndrome de Guillain-Barré, pneumopathie et encéphalopathie de détérioration progressive.
(VHS) sont rares mais extrêmement fréquentes.
L’herpès est le virus le plus fréquemment en cause :
il est responsable de lésions cutanées et vésiculo-squameuses ;
il est responsable de lésions oculaires : kératitte, ophtalmoplégie et surdité ou perte auditive de perception.
(HSVI) sont fréquentes : elles sont responsables de surinfections ou de récurrences dans la plupart des cas. La survenue d’une surinfection est le plus souvent secondaire à un portage chronique.
Des facteurs de risque sont identifiables :
En l’absence de facteur de risque, ces surinfections ne sont pas exceptionnelles.
Dans de très rares cas, des complications infectieuses sont observées en cas de portage chronique.
(HSV) sont fréquentes chez l’adulte.
Chez la femme ménopausée, il existe une augmentation du risque d’infection à HSV1 et HSV2. Les femmes enceintes sont exposées à un risque accru d’infection à
Un portage chronique est un facteur de risque d’herpès gingival.
Les lésions se manifestent sous forme de vésicules sur les lèvres ou de papules sur la vulve et le col de l’utérus.
Les lésions peuvent être douloureuses.
Le risque d’infection à , est plus élevé chez les femmes atteintes d’une maladie chronique de l’œil, comme la kératite.
Le portage chronique est un facteur de risque d’herpès gingival.
Le risque de surinfection est plus élevé chez la femme enceinte.
(HSV) sont fréquentes chez l’enfant.
L’HSV est responsable d’une lésion de la peau et des muqueuses, appelée vésiculo-plasmacite
L’HSV peut se transmettre lors de contacts oraux ou naso-oculaires avec le papillomavirus HSV-1 ou HSV-2
La lésion de l’herpès génital peut se présenter sous forme de vésiculo-plasmacite ou de lésion de la peau ou des muqueuses.
L’enfant peut développer une maladie chronique de l’œil : kératite ou ptérygite qui se manifeste par un œdème et un œil blanc et rouge.
La surinfection est fréquente.
Le virus de l’herpès est le plus souvent responsable d’une lésion de l’œil ou de la tête.
Les lésions de l’herpès génital sont rares chez l’enfant.
Les lésions de l’herpès gingival sont fréquentes chez l’enfant.
Le virus est responsable d’une lésion de la bouche ou de la langue.
est responsable d’une lésion cutanée ou muqueuse.
Les lésions de l’herpès gingival sont rares chez l’enfant.
Mardi : 9h-12h30 et 14h-19h
Mercredi : 9h-12h30 et 14h-18h
Jeudi : 9h-12h30 et 14h-19h
Vendredi et Samedi : 9h-12h30 et 14h-19h30
Dimanche : 9h-12h30
Harmonie Florale à Carrouges est partenaire